Travesti et humilié

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il y a 6 ans

Imaginez un homme de trente-cinq ans, plutôt moyen de taille, un peu fort, un peu passe-partout. Imaginez-le vêtu d'une robe décolletée, de bas de nylon noir et chaussé d'escarpins vernis à talons aiguilles. Imaginez-le vivant à genoux devant sa Maîtresse, humble et soumis à chaque instant, même quand elle n'est pas là, et vous aurez un parfait portrait de votre serviteur.

Cela fait maintenant deux ans que je suis l’esclave de Claire. Elle m'a éduqué, féminisé, transformant l'homme un peu terne que j'étais en créature, sinon délicate, du moins ambiguë. Car, ne nous leurrons pas, je ne suis pas un de ces travestis dont on a du mal à croire qu'ils ne sont pas des femmes. Je ne suis pas une grosse brute non plus. Simplement, Claire a tenu à ce que je garde toujours quelque chose de masculin en moi. Si elle aime mes bas, elle aime aussi mes épaules larges et le contraste qui en décou¬le ; si elle aime me provoquer, parfois jusqu'à la révolte contre elle, c’est parce qu'elle aime voir ma f o r c e d'homme lutter inutilement dans les liens qui m'enserrent. Et elle aime alors m'humilier et me soumettre à f o r c e de coups, jusque ce que je l'implore, que je crie grâce et m'excuse - même si je n'ai rien fait.

Claire est devenu experte en ligotage, c'est normal, c'est moi qui l'ai formée. Et parfois, j'avoue que c'est une sensation étrange d'être là, impuissant sous les coups, a tirer sans succès sur les cordes en me disant que je suis quelque part responsable de cette situation. Claire aime me pendre par les pieds, elle aime caresser mes bas, et surtout m'enculer.

Que n'ai-je pris dans le cul ! Des godes, bien sûr, mais aussi des bouteilles, des manches à balais des débouche-eviers, en fait, elle aime utiliser des instruments usuels. C'est un moyen de toujours me rappeler ma servitude, dit-elle. Et c’est vrai que je suis souvent troublée en prenant une louche (dont le manche m'a enculé il n'y a pas une heure), ou bien une clé anglaise au manche bien épais sur lequel traînent quelques-uns de mes poils culiers. Je me souviens de cette fois où ligoté dans le garage, j'observais le jardinier arrosant la pelouse. Se doutait-il que le tuyau sortait tout droit de mes fesses et qu'il allait y retourner, tout froid et humide qu'il était, sitôt qu'il aurait terminé sa tâche.

Je me souviens également de notre rencontre avec Denis. Denis était plombier et il était venu faire quelques réparations chez nous. Alors qu'il tentait de dévisser un tuyau, il m’avait demandé de lui passer le tournevis. Tandis que je m’exécutais, Claire avait pouffé de rire. Denis l'avait regar¬dé, un peu étonné, semble-t-il, et lui avait demandé ce qui l'amusait. Elle lui répondit que c'était la taille de l'engin. Denis regarde sa clé anglaise, sans comprendre. A ma gran¬de honte, Claire se lance alors dans des explications. 'Bien¬sur, dit-elle, vous vous en servez comme d'un outil. Mais savez-vous que certains vicieux de ma connaissance en font une toute autre utilisation ?' J'intervins, mais à mauvais escient : 'Claire !' Je ramassai une claque terrible qui me projeta contre le mur. 'Mon mari est une pédale, une tan¬touze. Il aime en prendre dans la rondelle. Ca, par exemple !" Et elle agita le tournevis sous mon nez.

De nouveau elle me gifla et m'ordonna : 'Monsieur ne nous croit pas. Baisse ton pantalon !' je tentai un timide : 'Mais chérie !', mais un coup de manche de tournevis dans l'estomac me plie en deux.

Je tombai à genoux aux pieds de Claire. "Tu sais que je n’aime pas que tu ergotes. Debout et baisse ton froc !' Je me relevai, sans oser regarder Denis qui n'en perdait pas une miette. J'ôtai donc mon pantalon, dévoilant mes bas noirs et mon porte-jarretelles assorti. 'Mais, c'est qu'elle ne porte pas de culotte, la salope !' s'exclama Denis. Oh non ! me dis-je, voilà qu'il joue le jeu ! "Tourne-toi face au mur, ordonne Claire, que monsieur puisse admirer ton petit cul" Comme je m'exécutai, elle ramena mes poignets sur mes reins et les menotta étroitement, avant de me baillonner avec un foulard. Et puis, je l'entendis qui me marchandait. Denis voulait m'enculer, et elle voulait lui faire payer ma virginité. Car, malgré les manches de pioche, les pieds de table et autres gadgets, malgré le tournevis qui, à l'instant même m’emplissait douloureusement le fondement, jamais encore je n'avais été réellement enculé. 'Je sais qu'il rêve d'en tâter, disait Claire. Je pense qu'il est prêt.' Et Denis paya.

M'attrapant par la nuque, il me courba en avant, arracha le tournevis et planta son gland, juste son gland. Je le sen¬tais palpiter à l'orée de mon conduit. J'étais effrayée, humiliée... et impatient. Mon anus se serrait, se desserrait, se resserrait, sur son gland... et soudain il s'enfonça, d'un seul coup, au plus profond de moi. Malgré mon baillon, je hurlai. Faiblissant sous sa poussée, je m'agenouillai. Il me suivit sans déculer et commença à me bourrer à grands coups de reins tout en caressant mes bas. Sa queue était énorme et coulissait bien : 'Oh ! Comme il s'ouvre, comme il est bon encore un peu étroit mais malléable !' murmura Denis. Il se redressa, ralentit le rythme, me saisissant les hanches. 'Regarde, Claire, comme on y est bien. On y entre comme on veut !' Alors, abasourdi, j'entendis Claire lui répondre : 'Je suis heureuse qu'il te plaise, mon chéri. J'avais peur de le déflorer et de te le gâcher !" Elle se penche vers lui, par dessus moi et je l'entendis l'embrasser, en murmurant :

'Bon anniversaire, mon amour ! ’

Depuis, Denis s'est installé à la maison et jouit de tout le confort qu'il peut désirer, le moindre n'étant pas mon entière soumission au moindre de ses caprices. Non pas que je sois amoureux de lui ou quoi que ce soit ; c'est Claire qui me l'a demandé et je ne peux rien lui refuser. Bien sûr, j'étais plutôt furieux quand j'ai appris, lorsqu'elle m'offrit à lui comme cadeau d'anniversaire, que j'avais été manipulé. Il était son amant depuis bien longtemps et, connaissant ses penchants pour les culs fermes des garcons, elle lui fournis¬sait de temps à autre de la chair fraiche. Mais elle me jura ses grands dieux qu'avec moi c'était différent, d'ailleurs n’avait-elle pas attendu deux ans avant de me livrer à lui ? Mais pourquoi, précisément, l'avoir fait maintenant ? En avait-elle assez de moi ? Mon angoisse l'avait fait rire : 'Ainsi donc, tout ce que t'inspirent ces événements, c'est que tu as peur de me perdre !' Je m'allongeai à ses pieds et pris délicatement sa cheville droite pour dégager son pied de son escarpin. Je l'embrassai, la léchai, suçai ses orteils. Elle me repoussa doucement et alla s'asseoir. Je rampai vers elle, mais elle me stoppa d'un brutal "arrête !'. 'Reste à quatre pattes, baisse la tête et ferme les yeux. Maintenant, décris moi comment tu es habillée !" Perplexe, je m'exécutai en bafouillant un peu : 'Je porte une robe de satin bleu qui descend à mi-cuisses.

Sous la robe, je porte un corset. Au corset, sont fixées des jarretelles qui retiennent mes bas. Ce sont des bas noirs à couture que vous avez vous-même choisis ! - Et dans les pieds ? - Je porte des escarpins vernis noirs à talons aiguilles ! - Est-ce là une tenue masculine. - Non, Maîtresse ! - Comment est ton sexe ? - Entravé, Maîtresse. Une corde est nouée autour de mes testicules et les étire en arrière, la corde passe entre mes fesses et est attachée à une ceinture. - Ta queue ? - Ma queue est plaquee par le bas contre ma cuisse gauche, une fine cordelette sur la cuisse elle-même et la corde qui retient les testicules l'empêche de se redresser ! - Est-ce là une attitude de mâle ? - Non, Maîtresse ! - Alors, tu comprends pourquoi j'ai besoin de Denis ?

Maintenant si je te dis que tu n'es qu'une larve, une petite tapette qui n'est bonne qu'à se faire mettre, qu'est-ce que tu diras ? - Rien, Maîtresse ! - Rien ? Vraiment ? - Non ! Je dirais que vous avez raison, Maîtresse. - Et si je te dis que quoi que tu fasses, tout ce que tu mérites c'est une bonne correction ! Même si c'est particulièrement injuste, que feras-tu ou que diras-tu ?

  • J'irai chercher le fouet, Maîtresse, je vous le présenterais à genoux, en le tenant dans ma bouche. Et quand vous le prendrez, je vous dirais merci, Maîtresse ! - Vraiment ? Alors, va le chercher. Et ramène des cordes par la même occasion. Je n'aime pas te voir libre, ça fait négligé'

Je fus bientôt ligoté à plat ventre sur la table de la salle de séjour, robe retroussée sur les hanches et formant un X que Claire daigna qualifier d'harmonieux. Elle glissa un oreiller sous mon bas-ventre pour relever mon cul qu'elle commence a cingler avec fureur. Elle tapait comme rarement elle l'avait fait baissant soudain de rythme pour mieux repartir de plus belle, maintenant ainsi une tension qui me transforme vite fait en chien des plus serviles. Je ne sais combien de temps dura cette séance (beaucoup moins longtemps qu'il ne me le parut, probablement), mais j'étais épuisé, éreinté, moulu, en charpie, à demi-m o r t , lorsqu'elle s’arrêta. Elle s'approcha alors de moi. Ses yeux fixèrent les miens et sa bouche était proche de la mienne. Je me mis à pleurer parce que j'avais envie qu'elle m'embrasse. Je vis percer un brin d'émotion chez elle. Elle me demande : "Tu n’as rien à me dire ?

  • Merci Maîtresse !'

Elle me caressa la joue, puis m'embrassa en me disant : 'Alors, tu comprends pourquoi j'ai besoin de toi ! Tu comprends pourquoi j’ai besoin de vous deux !

  • Oui Maîtresse.

Depuis que Denis s'est installé chez nous, je suis en fait plus souvent avec lui qu’avec Claire. Et je comprends enfin que lorsqu’elle m’a offert à lui pour son anniversaire, elle était sérieuse. En effet, bien que restant sous sa coupe à elle, car c'est à elle que je suis soumis et c'est pour elle que j'obéis, c'est à lui que j'ai affaire, et c'est à ses ordres à lui que je dois me plier.

Nous passons donc, lui et moi, de longues soirées ensemble. Il aime regarder la télé. Généralement, il s'installe dans ce qui fut un jour mon fauteuil. Il est nu, comme toujours lorsqu’il n'a pas à sortir. Je suis nu également, ne portant pour tout vêtement qu’un porte-jarretelles et des bas de Nylon noir, agenouillé entre ses cuisses, les bras ramenés dans le dos, ligotés au niveau des coudes et des poignets. Une fine cordelette relie mes chevilles à mes poignets, m'immobilisant totalement. Souvent, un énorme godemiché dilate mon anus et plonge au plus profond de mes fesses. La tête penchée sur le ventre de Denis, je suce sa queue tandis qu’il regarde un programme. il aime que cela dure long­temps (parfois la durée d'un film). Je dois donc veiller à le main­tenir excité suffisamment, sans pour cela l'amener à l’orgasme. Parfois, pourtant, c'est lui qui craque, devant une scène particu­lièrement croustillante, ou simplement si une de ses actrices favo­rites passe à l'écran. Il m'agrippe alors par les cheveux et, m'imposant son propre rythme, m'enfile jusqu’à la garde pour mieux décharger dans ma bouche. Tout cela en beuglant des 'Tiens, salope, prends ca !', qui ne s'adressent pas à moi, mais au fantasme qui s'anime dans la lumière bleutée du téléviseur. D'autres fois, plus excité encore, il me bouscule, me retourne bru­talement et m'encule v i o l emment, sauvagement - mais seules les grandes stars ont droit à cette démonstration. Ainsi donc, il baise les plus belles femmes du monde.

Cette situation me laisse un goût amer dans la bouche. Car enfin, voilà que je me suis soumis à une femme, et à une femme seule, étant hétéro. Et voilà que cette femme semble me délaisser, me livrant à l'homme qui la saute pour lui servir de garage à bites. Ma queue n'a plus servi de manière active depuis long­temps. Moi qui aime les femmes, je ne connais plus la douceur d'un vagin, ni même celle d'une main aux ongles laqués de rouge. Je ne connais plus que des étreintes brutales, des queues qui f o r c e nt mes lèvres ou mes fesses, je ne connais plus que de grands coups de reins qui me défoncent le cul ou la mâchoire. Je suis devenu, de fait, une tapette, une Tapette, un défouloir à mâles en rut. Car, une chose en entraînant une autre, Denis a fini par rameuter ses copains.

Je plais en robe de dentelles ou tailleur Chanel. Je plais en talons aiguilles, en guêpière, ou en caraco. Tout vêtement mascu­lin m'est interdit. Je suis paré comme beaucoup de femmes ne le seront jamais. Ma garde-robe est des plus riches, des plus cha­toyantes.

Denis aime surtout mes bas. Il aime me voir déambuler en porte-jarretelles, il aime caresser mes jambes, et sentir mes bas crisser, frotter contre sa peau. Il aime voir ma bite pendre, entravée, ou bien libre, se dresser entre mes jarretelles. Il aime me prendre à tout instant, quoi que je fasse, il aime me trousser et m'enfiler, peser sur moi et, parfois, tâter mes couilles pour mieux encore apprécier le fait de m'enculer. "Tes bas sont plus doux que ceux d'une femme, car ils ont la douceur de l'interdit, me dit-il un jour. Ton trou n'en est que meilleur. Si tu n'avais pas ces robes, ces jupes, ces falbalas, je ne crois pas que je te toucherai. Mais là, de te voir si maladroitement féminin en renf o r c e le caractère, je croirais presque que tu es plus féminin qu’une femme, parce que, cette féminité, tu la gagnes au jour le jour car, quoi que tu fasses, ta bite est là, et bien là, qui dément tous tes efforts !"

Depuis ce jour, nos relations ont changé. C'est ainsi qu’un soir Denis me tend son pied à lécher - je vois alors qu’il porte des bas. "Eh bien, lèche ! dit-il, ne me dis pas que cela te gêne !'

Il ôte son pantalon, et je remarque qu’il a mis un de mes porte-jarretelles, ainsi que des bas noirs, qui plaquent ses poils car il ne s'est pas rasé. Il bande comme jamais (et pourtant, croyez-moi, c'est un étalon). 'Mets-toi à quatre pattes", me dit-il. Sa voix est presque câline, je sens qu’il est troublé. J'obéis et il me grimpe dessus.

Tondis qu’il cherche et trouve mon trou du cul et s'enfonce en moi, nos jambes se frôlent. Un délicieux frisson électrique nous parcourt. Nos bas frottent les uns contre les autres, et c'est comme si à chaque fois nous étions aiguillonnés par un dard - ce qui, en l'occurrence, est mon cas. Comme ses bas sont doux sur les miens !

Comme c'est bon de sentir la caresse du Nylon ! Sa queue emplit tout mon cul, et jamais, je crois, elle n'a été aussi présente. Chacun des crissements de nos bas semble la grandir encore un peu plus, vraiment elle grossit de plus en plus et mon anus s'ouvre, s'ouvre comme s'il voulait l'engloutir, lui, tout entier. Il va et vient doucement entre mes fesses, et ce n'est qu’au terme d'une longue étreinte qu’il finit par décharger et m'inonder le cul de foutre.

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